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Nov, 2022

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Trop régulièrement, notre fonctionnement en mode « pilotage automatique » nous donne l’impression de perdre le contrôle. La pratique de la sophrologie peut nous amener progressivement à reprendre le contrôle et surtout à être acteur de son mieux-être.
La sophrologie est avant tout une technique de relaxation qui vise à (re)trouver l’équilibre entre le mental et le corps. Il s’agit d’une démarche personnelle, le temps d’une pause qui amène à être attentifs au message de son corps. Cette démarche est aussi appelée « intériorisation ».
Cette approche repose essentiellement sur la respiration associée à des mouvements, la détente musculaire et mentale et la visualisation d’images positives. Elle s’adresse à toutes personnes qui souhaitent se (re)connecter à ses sensations et émotions.
Concrètement, la sophrologie se pratique en groupe ou de façon individuelle avec une personne formée en sophrologie. Cette approche se pratique assis ou debout et parfois allongé, les yeux peuvent être ouverts ou fermés.
Si plusieurs écoles existent dans le domaine de la sophrologie, on retrouve généralement les mêmes techniques lors d’une séance.
Guidé par la voix du sophrologue, la séance débute par des exercices de relaxation dynamique, des postures, des mouvements simples, des automassages qui amènent le relâchement musculaire et la détente physique.
Les exercices de respiration et de visualisions positives permettent d’atteindre un niveau privilégié de conscience, entre veille et sommeil, qui sera propice pour percevoir plus facilement les sensations et les émotions qui se manifestent dans le corps au moment présent. Et pour terminer la séance, le sophrologue propose souvent un temps d’écoute active et de partage. On suggère aussi aux personnes de noter dans un carnet de manière personnelle leur propre vécu lié à la séance.
Souvent, plusieurs séances (de huit à dix séances) sont nécessaires pour intégrer la méthode, la comprendre et surtout l’expérimenter. L’objectif est avant tout de permettre à la personne de reproduire de façon autonome les exercices et ainsi de les intégrer dans les situations de la vie quotidienne.
Comme pour de nombreuses pratiques qui allient corps et mental, c’est la régularité de la pratique qui fera la différence. Les effets se feront ressentir globalement, tant sur le plan physique (diminution des tensions musculaires, de certaines douleurs…) que sur le plan mental (meilleure gestion des émotions et des situations de stress, amélioration du sommeil, de la concentration et de la mémorisation, diminution de l’anxiété, des ruminations…).
Découvrez une séance de sophrologie (avec nos remerciements à Michele Daniele, sophrologue et thérapeute au CITES à Liège)
Fondée en 1960 par un neuro-psychiatre, inspirée de l’hypnose et de certaines disciplines orientales, la sophrologie est une pratique psycho-corporelle qui s’appuie notamment sur la détente physique.
Nous verrons ce qu’est, et ce que n’est pas la sophrologie ? Quels sont ses grands principes ? Quel est son fonctionnement ? Existe-t-il une validation scientifique ? Quels sont ses domaines d’application dans le domaine médicale et paramédical ? Pourquoi la sophrologie est-elle utilisée dans certains services hospitaliers ? Existe-t-il des validations scientifiques ? Comment trouver un bon sophrologue solidement formé et surtout éviter les charlatans qui s’improvisent sophrologues, il suffit de faire un tour sur Internet.
avec Richard Esposito, sophrologue, professeur de philosophie, directeur du Centre de formation des sophrologues professionnels, président du groupe d’épistémologie de la sophrologie (GES),
La sophrologie ed.Que sais-je
Guillaume Dolpierre, ambulancier et sophrologue
Thomas C.Durand, docteur en biologie végétale, Quand est-ce qu’on biaise ? ed. HumenSciences, blog La Tronche en biais
Tel : Patrick Giniès médecin anesthésiste au CHU de Montpellier
Chronique Thierry Lhermitte
Chronique Alors voilà Baptiste Beaulieu (Dx ok)
Partenariat Santé Magazine Aline Perraudin
En cette deuxième semaine de vacances, j’avais envie de changer un peu et de vous faire découvrir une technique qui pourrait vous aider au quotidien. Ce stress qui nous envahit, qui nous pourrit la vie peut se gérer assez simplement si l’on y consacre un peu de temps. Cette semaine, focus sur la sophrologie et ses bienfaits. Pascale Deboudt, sophrologue caycédienne (du nom du fondateur colombien de la sophrologie, Alfonso Caycedo) depuis 2004, répond à mes questions.
Elle est née dans les années 1960, dans le bureau du professeur Alfonso Caycedo, neuropsychiatre qui étudie la conscience pour un meilleur équilibre corps/esprit. Elle s’inspire de la méditation, du yoga, du zen et de l’hypnose pour offrir ses bienfaits dans notre mode de vie occidentale.
« C’est une technique de relaxation de type dynamique. C’est une thérapie brève basée sur une nouvelle façon d’être et de penser, une autre manière d’aborder le monde et ses agitations. Au-delà d’une méthode, la sophrologie propose des moyens, des astuces pour déjouer les plans de nos ruminations quasi permanentes, de nos croyances limitantes, de nos blocages inconscients, chez les petits et chez les grands ! », explique Pascale Deboudt.
Par une pratique répétitive d’exercices psychocorporels, l’idée est d’arriver à la pratiquer au quotidien, dans n’importe quelle situation de stress.
« Avant tout, pour bien saisir les atouts de la sophrologie, il me semble indispensable de comprendre que notre corps réagit exclusivement à ce que nous pensons. Nos pensées dirigent donc notre vie sans même que nous en ayons conscience et influencent directement nos émotions, qui débordent bien souvent. Les émotions qui nous habitent déterminent le niveau de notre bien-être. »
Globalement, elle est efficace pour retrouver un bien-être et surtout l’entretenir et le préserver. Plus spécifiquement en cas de :
Ne pensez surtout pas qu’elle résoudra tous vos soucis… elle vous accompagnera fidèlement dans le changement progressif de vos perceptions en découvrant des solutions en vous.
« Après quelques instants d’écoute et de partage pour faire la connaissance de vos besoins, la détente s’installe au rythme de la voix de la/du sophrologue pour plonger très vite dans un état de relaxation profonde, comme au bord du sommeil mais en état conscient de veille. Avoir la conscience en éveil permet d’être plus réceptif à la réalité de notre monde intérieur et dès lors d’être davantage capable de modifier certains de nos comportements liés au monde extérieur. Assis et/ou debout, nous réapprenons à respirer correctement, élément essentiel de la méthode. A s’écouter et à s’estimer avec des exercices de visualisation dans une approche respectueuse de chaque personne. »
Les enfants peuvent, eux aussi, tirer beaucoup de bénéfices de cette technique, ils y sont très réceptifs. En cas de troubles du comportement (hyperactivité, agressivité, …), terreur nocturne, manque de concentration, phobies, difficultés relationnelles, tristesse, etc.
Publié le
Source La libre.be
20 % des Français ont déjà pris une benzodiazépine. La sophrologie caycédienne peut les aider à se sevrer, ou du moins à diminuer leur consommation. Explications.
Toute personne sous anxiolytiques ou antidépresseurs peut être inquiète de voir son traitement arriver à sa fin, ou encore souhaiter éviter toute surmédication. Il existe la crainte de présenter une rechute et devoir continuer à prendre ce médicament pendant longtemps. C’est là où la sophrologie caycédienne a un rôle très important.
Avec la supervision du médecin traitant, le sophrologue caycédien enseigne au patient une méthodologie pour qu’il apprenne lui-même à utiliser ses propres ressources et prenne une part active et responsable dans le traitement de son anxiété et de son état d’humeur
L’anxiété et le stress chronique se manifestent au niveau corporel de différentes manières (transpiration, augmentation de la fréquence cardiaque, respiratoire, tension musculaire). Pour ce motif, nous proposons une série de techniques sophrologiques qui agissent principalement sur le corps. En le connaissant mieux et en le sachant éliminer les tensions (somatisations), nous réduirons énormément les niveaux d’anxiété. C’est ainsi que nous commençons généralement avec des exercices respiratoires et d’autres techniques basées sur la conscience du corps.
Progressivement, nous continuons à pratiquer d’autres techniques, qui agissent davantage sur l’esprit, en aidant à diriger l’attention et les pensées où nous voulons, et non là où les préoccupations et parfois les obsessions nous conduisent. Avec la pratique nous apprenons à être sujets de nos pensées et non objet de celles-ci.
Nous travaillons aussi avec des techniques sophrologiques qui renforcent les émotions positives. Nous apprenons à trouver des sensations, émotions et sentiments en nous, qui étaient « stockés » dans notre passé, qui se trouvent au moment présent et qui se projettent vers un avenir plein de sens et d’espoir
Apprendre à avoir recours à nos propres ressources nous donne beaucoup de paix, de sécurité et un sentiment de liberté qui aide à réduire progressivement le médicament ou à le suspendre dans les cas indiqués.
Testé par une de mes étudiantes sur des patients d’un Centre d’assistance primaire en Catalogne, il s’est avéré qu’après huit semaines de sophrologie, les patients avaient baissé leur consommation de médicaments de 30 %. De plus, ils étaient fiers de s’en être sortis par eux-mêmes.
La prochaine fois, nous aborderons les bénéfices corporels de la sophrologie caycédienne. En attendant, n’oubliez pas de pratiquer tous les jours.
source: https://www.santemagazine.fr/medecines-alternatives/relaxation/la-sophrologie-aide-a-reduire-la-prise-danxiolytiques-et-dantidepresseurs-173756
Qu’il s’agisse de nourriture, d’alcool, de cigarettes mais aussi de jeux vidéos, de jeux de hasard et même d’internet, la sophrologie peut aider les personnes à se débarrasser de leurs comportements addictifs…
De nombreuses définitions sont proposées. L’étymologie du mot « addiction » est latine et signifie esclavage. Le sujet addict est l’esclave d’une seule solution pour de nombreuses raisons, et parfois pour échapper à un mal-être ou une douleur mentale.
D’après l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles), l’addiction se caractérise par « la dépendance, soit l’impossibilité répétée de contrôler un comportement et la poursuite de ce comportement, en dépit de la connaissance des conséquences négatives ».
Les addictions se rapportent autant à des produits qu’à des conduites, et sont souvent causées par le désir de combler un manque, de réduire une anxiété et de se sentir mieux. Or, la dépendance engage corps et esprit dans le mal-être…
En complément d’un suivi et d’un traitement médical et surtout psychologique adapté, la sophrologiepermet d’agir conjointement sur le corps (exercices de relâchement des tensions, détente musculaire…) et l’esprit (pratique de la pensée positive).
Une pratique régulière de la sophrologie aide la personne souffrant d’addiction à :
source https://www.onmeda.fr/medecines-douces/addictions-et-sophrologie.html
La sophrologie de relaxation dynamique s’intègre parfaitement dans une politique de bien-être et de prévention des risques psychosociaux conformément au code sur le bien-être au travail paru au moniteur belge le 2 juin 2017.
Le code sur le bien-être au travail remplace le règlement général sur la protection du travail. Le code sur le bien-être au travail représente cependant bien plus que l’héritage du RGPT car il consacre l’introduction de la notion de bien-être au travail, plus large que les notions traditionnelles de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs.
Le code sur le bien-être au travail met également l’accent sur une nouvelle approche, définie dans la loi relative au bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail.
En effet les employeurs doivent mener une politique du bien-être basée sur une analyse préventive et globale des risques liés au travail. Pour ce faire, l’employeur collabore avec les services de prévention et de protection au travail.
La structure du code a été fixée en 1993. Le code est progressivement complété. Il regroupe tous les arrêtés d’exécution de la loi sur le bien-être au travail sous différents titres. On y retrouve les mesures relatives à la surveillance de la santé des travailleurs ainsi qu’à la charge psychosociale occasionnée par le travail, les exigences liées aux lieux de travail, notamment la coordination des chantiers temporaires ou mobiles, les facteurs d’environnement et agents physiques ainsi que les agents chimiques, cancérigènes, mutagènes et biologiques. Les dispositifs relatifs aux équipements de travail, individuels ou non font l’objet de plusieurs chapitres du code. Enfin, le code a rassemblé sous un titre certaines catégories particulières de travailleurs : les travailleuses enceintes, les jeunes au travail, les stagiaires, les travailleurs intérimaires, les travailleurs de nuit et postés.
Vous trouverez plus d’informations sur le Code sur le bien-être au travail et les textes réglementaires dans le thème Bien-être au travail.
Le risque de burn-out chez les travailleurs est passé de 10% à 17% en trois ans. Et 28.000 Belges souffrent déjà de burn-out…
28.000 Belges souffrent de burn-out. Cela représente 7% des personnes indemnisées par l’Inami, d’après les chiffres relayés par nos confrères du « Soir ».
Le burn-out pend au nez de plus en plus de travailleurs. Une enquête réalisée par le secrétariat social Securex le dit aussi. Le nombre d’employés présentant un risque de burn-out est passé de 10% en 2014 à 17% en 2017.
D’où sort cette donnée? Securex a sondé un échantillon de 1.552 travailleurs en leur soumettant des questions liées aux stresseurs classiques: intensité du travail, perspectives de carrière, charge émotionnelle et charge physique, conditions de travail, relations de travail… Cette méthode permet de déceler les personnes qui sont le plus à risque. On ne brosse donc pas ici un tableau du nombre de cas de burn-out déclarés. Mais bien le nombre de travailleurs les plus exposés aux risques.
D’après l’enquête de Securex, les travailleurs approchant des 40 ans et qui bossent à temps plein sont les plus exposés. Ils subissent un excès de stress au travail cumulé à une pression de la sphère privée (jeunes enfants à gérer, etc.). Les statistiques montrent aussi que 18% des travailleurs à temps plein sont exposés aux risques, contre 13% des temps partiels.
Côté pyramide des âges, 19% des moins de 35 ans sont exposés aux risques, 23% des 35 et 39 ans et 14% des plus de 40 ans. Cette situation est préoccupante, dit Securex, car elle touche des groupes d’employés censés encore travailler longtemps.
Securex a également cherché à savoir si le burn-out pouvait impacter davantage les employés que les ouvriers. Il ressort de l’enquête que non. Les deux catégories de travailleurs encourent les mêmes risques, de même que les personnes faiblement ou hautement scolarisées, les cadres ou les employés. Les hommes et les femmes y sont aussi confrontés dans la même mesure. L’étude ne constate pas de différence entre secteurs, régions, taille d’entreprise.
Bref, personne n’est à l’abri du burn-out. Ou quasi.
Securex apporte une nuance aux résultats de son étude. « Le burn-out est de moins en moins tabou. Les travailleurs admettent peut-être plus facilement que par le passé qu’ils sont ou se sentent épuisés. C’est néanmoins un signal », dit Heidi Verlinden, experte en ressources humaines.
D’après les données officielles de l’Inami, 7.653 personnes étaient prises en charge par l’assurance-maladie invalidité depuis plus d’un an, parce qu’elles avaient développé ce trouble psychologique lié au travail en 2015. Des statistiques inquiétantes, et qui restent partielles. En effet, les cas de burn-outs qui ont eu une durée de 6 ou 9 mois ne sont pas repris dans ces chiffres. Tout comme les burn-outs qui ne sont pas détectés comme tels.
Pourquoi de telles hausses? Securex avance deux facteurs. D’une part la pression et le stress de plus en plus élevés au travail. D’autre partl’équilibre vie privée/vie professionnelle qui devient plus difficile à trouver. Les travailleurs ont de plus en plus de mal à récupérer quand ils sont dans la sphère privée. Et une faible résistance au stress (souvent chez les perfectionnistes, les pessimistes et les personnes ayant des attentes trop élevées) augmente encore les risques de burn-out.
Que faire pour endiguer le phénomène? « Il faut augmenter la confiance du travailleur et son sentiment d’autonomie, dit Heidi Verlinden. Pour cela, il faut redonner du sens au job du travailleur en souffrance, et mieux utiliser ses talents. » Une autre étude de Securex a en effet déjà démontré que les travailleurs motivés ont moins de risque de tomber en burn-out que leurs collègues qui travaillent « parce qu’il le faut ».
La spécialiste RH pointe aussi que la responsabilité du travailleur et de l’employeur est partagée. « C’est aussi au travailleur à trouver lui-même un emploi et un environnement de travail qui sera épanouissant pour lui, où il partagera des objectifs et valeurs communes, qui lui procureront un sentiment d’appartenance et qui lui donneront plus de confiance et augmenteront son sentiment d’autonomie. »